Michael Jordan

Non ça je crois pas parce qu'à l'épque c'était pas une affiche intéressante, donc pas diffusé sur canal +. Mais je regarderai et je te dirai par MP.

Sans doute le plus beau des topics tous sports confondus....

Merci à vous de me rendre encore plus nostalgique que ce que j'étais avec toutes ses vidéos. Il restera le "monsieur basket ball" et personne ne lui arrivera à sa cheville.

I wanna be like Mike


ps: je vais sortir toutes mes vhs du carton et me repasser quelques matchs cet aprèm

samacom a écrit:

Sans doute le plus beau des topics tous sports confondus....

Merci à vous de me rendre encore plus nostalgique que ce que j'étais avec toutes ses vidéos. Il restera le "monsieur basket ball" et personne ne lui arrivera à sa cheville.

I wanna be like Mike


ps: je vais sortir toutes mes vhs du carton et me repasser quelques matchs cet aprèm

De rien, bon après-midi de matchs^^.

Par contre, je pense à un truc en rapport à ce qu'e vous avez dit Magicgreg et toi: "il est revenu pour l'amour du jeu, pour le salaire minimum et pour remercier ses fans". J'aurais aimé que ces formidables raisons soient sa 1ere motivation mais hélas non. Il est revenu en priorité pour des raisons bassements financières et spéculatives.
Eh oui parce que vous vous êtes pas rendus compte mais y'a un truc qui choque dans ce que vous me dites " il a signé pour le minimum syndical (env 1M$) et il a tout donné à des oeuvres." C'est pas logique, s'il veut donner de l'argent à des oeuvres, autant demandé le + d'argent possible?!?
Déjà il avait pas besoin de rejouer pour donner 1M à des oeuvres vu l'énormité de ses revenus. Ensuite à l'époque il était actionnaire des Wizards, donc pour faire quintupler la valeur de l'action, il savait qu'il lui suffisait de rejouer, sans compter le merchandising (Jerseys, billeterie...).
Faut pas oublier qu'avant d'être le meilleur basketteur, Jordan a été le meilleur sportif businesman. Et il savait que - il se donnait en salaire, + il gagnait en plus value. Après le fait d'annoncer qu'il revenait pour ses fans, pour le salaire mini et pour des oeuvres, d'un point de vue marketting, en terme d'image c'est très bien jouer de sa part, mais faut être lucide, c'était pas sa 1ere motivation.
Après je dis pas qu'il s'en foutait du basket, il s'est pas fait chier à s'entrainer 5h/j à 40ans uniquement pour l'argent, bien sur que le basket lui manquait mais si c'était uniquement ça, il serait tout naturellement, et en toute logique, retourner aux Bulls.
Voilà désolé de casser un peu l'image du mythe mais simplement quand on est fan, je pense que c'est important de connaitre tous les aspects de la personne, les bons comme les moins bons.

Bah je me doute que y'a quelque chose derrière tout ça, son retour au wizards plutôt qu'au bulls...Mais c'est un mythe M.J.. Donc je veux pas imaginer que c'est quelqu'un de vénal ! lol
En tout cas son dernier salaire aux bulls été...Astronomique !
33 Millions de dollars ! (sans les contrats Pub !)

En comptant uniquement les salaires des équipes (Bulls et Wizards) sur toutes sa carrière la somme monte à plus de 94 millions de dollards ! Impressionant ! Ces deux dernières années aux Bulls ont été encore plus payé que ce que touche actuellement les meilleurs joueurs de la ligue.

Impressionant certes, mais largement mérité... surement plus d'ailleurs que les fameux joueurs auxquels tu faisais référence... et francis en premier^^

Je sais pas si vous avez vu mais Marcus Jordan, le fiston a son papounet, a participé au Jordan Challenge 2009. C'est marrant c'est le seul ou était inscrit "Jordan" des 2 côtés sur son maillot!

T'en rate pas une... quand j'ai lu ton post ça m'a fais saigner du nez à cause de tes conneries...^^

Nan sérieux c'est vrai, comme c'est le Jordan Challenge, tous les joueurs ont des maillots Jordan avec leur nom derrière donc lui a bien Jordan des 2 côtés, c'est pas courant, j'ai trouvé ça marrant. Par contre je sais pas s'il fallait le poster ici. (MJ69, c'est que pour le père où on peut parler des fils aussi???)

CAPTAIN a écrit:

Nan sérieux c'est vrai, comme c'est le Jordan Challenge, tous les joueurs ont des maillots Jordan avec leur nom derrière donc lui a bien Jordan des 2 côtés, c'est pas courant, j'ai trouvé ça marrant. Par contre je sais pas s'il fallait le poster ici. (MJ69, c'est que pour le père où on peut parler des fils aussi???)

"Michael Jordan" voilà le nom du topic, donc théoriquement c'est un topic spécialement dédié à Michael Jordan. Mais tout ce qui est en rapport avec lui est le bienvenue sur ce topic, donc tu as bien fait de parler de ça ici.

Bon aller on revient sur MJ. Je vous fait profitez d'un article fait sur lui sur BAM. Que j'ai chez moi.
Par THOMAS BERJOAN
"Alors certes, ce ne fut pas la première. Le 6 octobre 1993, repu par trois titres d'affilée et perturbé par la mort de son père, il avait déjà raccroché, avant de réussi le come-back le plus incroyable de toute l'histoire du sport. Et puis ce ne sera pas sa sa dernière, parce que le démon de la compétition le harcèlera pour un dernier baroud d'honneur en 2001. Mais ce moment, il y a tout juste 10 ans, est à part. Ce jour là, le crâne luisant et le sourire carnassier de Jordan seront associés pour la dernière fois au logo des Buls, étayé par six trophées en huit ans. Sa carrière n'est pas terminé, mais la légende a oublié la suite.

Parce qu'à cet instant le scénario est extraordinaire " La réalité dépasse la fiction" a dit Mark Twain, célèbre américain. "Car la fiction doit respecter la vraisemblance, la réalité non" Jordan a tout eu. Ses performances individuelles et collectives parlent d'elles mêmes. Il a tout gagné, tout écrasé. Le joueur n'avait aucunes failles et chacun de ses exploits était magnifié par une classe, une esthétique corporelle incomparable. Sa domination sur le jeu était telle qu'elle aurait pu lasser. Mais l'épisode de sa orelière retraite constitue une incroyable relance dramatique. Dans les films, le héros connaît un échec contre le méchant avant de revenir plus fort pour triompher à la fin. Jordan n'a pas trouvé d'adversaire à sa mesure. Sa traversée du desert fut personnelle. Un Oedipe à l'exact inverse, qui tenta de contrer le mort de son père en marchant sur ses pas. L'échec de la quête paternelle à travers le baseball conféra une puissance inouïe à son retour aux sources. Une boule d'énergie pure à qui rien ni personne ne résistera, jusqu'à un final majestueux.

19 juin 19998, game 6 des finals, dernier match sous le maillot des Bulls. J'aimerais vous dire que j'étais à Salt Wake city, que j'ai vibré au milieu des mormons quand le numéro 23 marque à six secondes de la fin. Mais j'étais pas loin. Enfin, pas tant que ça. A Fitchburg dans le Massachusetts, à une petite heure de Boston dans le sous-sol d'une maison typiquement américaine. Le souvenir est précis car ce jour là une petite fête était célébrée en l'honneur de mon diplôme de high school. Une bonne partie de mon équipe de basket était évidemment présente pour ce match. Une bande de nostalgiques des Celtics de Bird séduits par le jeu académique et rugueux du Jazz mais surtout avides de voir tomber Jordan l'arrogant. Aux Etats-Unis, contrairement à l'image plus lisse qui nous parvenait en Europe, Jordan et ses Bulls ont également attiré sur eux pas mal d'hostilité, de rancune et de jalousie. Et pourtant, après cet ultime shoot, rien de tout cela dans les regards qui parcouraient la pièce. Simplement de l'admiration et le sentiment d'avoir vécu en direct le dénouement magique d'une histoire fantastique. Ce numéro est consacré à cette légende, bonne lecture" Voilà

Putain tu fais chier, après ça, obligé, je vais regarder encore une fois ce match et je vais avoir ma petite larme à l'oeil. C'est con mais c'est + fort que moi....

CAPTAIN a écrit:

Putain tu fais chier, après ça, obligé, je vais regarder encore une fois ce match et je vais avoir ma petite larme à l'oeil. C'est con mais c'est + fort que moi....

J'amerai bien avoir cette maladie^^. Ce shoot quand même. J'ai ce match sur mon ordi, en Dvd et en cassette, c'est dire si il est précieux.

Pour ceux qui maitrisent l'anglais:
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NBA archives

'The Shot' that changed two teams rings true 20 years later



By Chris Tomasson, for NBA.com
Posted May 7 2009 12:53AM
In January 1999, on the day Michael Jordan announced his retirement from the NBA a second time, Craig Ehlo retreated to a room in his Spokane, Wash., home to watch a sports highlight show. He sat down and, suddenly, heard a voice speaking to him.








Actually, it was the television.
"Craig Ehlo, if you're watching, sit down and relax," the announcer said. "Because Michael has said this is one of his favorite shots."
That was 10 years ago, two years after Ehlo had retired. All that time, though, had not dulled Ehlo's memories about being on the wrong end of one of the most famous plays in basketball history. The memories still have not faded.
Thursday marks the 20th anniversary of "The Shot," Jordan's game-winning, last-second jumper over Ehlo in the deciding game of an Eastern Conference first-round series on May 7, 1989. The shot gave Jordan's Chicago Bulls a 101-100 win over Ehlo's Cleveland Cavaliers and almost immediately became a piece of NBA lore.
"Pretty much every day somebody will bring up that shot,'' said Ehlo, who played 14 years in the NBA and is now a college basketball television analyst in the Pacific Northwest. "They'll say, 'I saw your shot on a commercial or a highlight last night.' It's just nice to be remembered for something."
In his illustrious basketball career, Jordan hit two last-second shots that secured championships. One was his 1982 jumper that gave North Carolina a win over Georgetown for the NCAA crown. The other was his 1998 jumper over Utah's Bryon Russell that secured Chicago's sixth and final title.
Neither of those winners has the notoriety of "The Shot," though, and neither is regularly featured in commercials.
"The Shot," though, has become something else. Gatorade once did a spot that altered the footage as if Jordan had missed the shot. A Nike commercial once had Spike Lee reading "Craig Ehlo'' from a book of history about Jordan, something Ehlo didn't mind since he got a check for $2,500 for use of his name.
"Of all the big shots in basketball, it ranks right up there," said Bill Cartwright, a Phoenix assistant who then was Chicago's starting center. "It was a great moment that will keep being replayed over and over again."
As memorable as the shot was, it didn't mean much in the grand scheme of things. After defeating the Cavaliers, the Bulls beat New York in the second round before falling to Detroit in the Eastern Conference final. Still, Jordan has looked back on that Sunday afternoon at Richfield Coliseum as a pivotal moment in getting the Bulls in position to start their dynasty.
"For us to get over the hump and make people believe in what we were capable of achieving was the game against Cleveland when I hit 'The Shot,'" Jordan said earlier this decade. "That was how we won the city (of Chicago) over to believe.''
The Bulls had lost in the first round of the playoffs during Jordan's first three seasons, in 1985, 1986 and 1987. They had beaten Cleveland 3-2 in the first round in 1988 before being whipped 4-1 by Detroit in the second round.
What "The Shot" did was help put Jordan's reputation for making big plays into overdrive.
"It was the evolution of him starting really to make a major name for himself," said Brad Sellers, the Chicago forward who threw the inbound pass on the play. "It was a stepping stone. And it elevated the franchise."
Heading into the Playoffs that year, few thought the 47-35 Bulls were on the verge of anything special. As the East's No. 6 seed, they had lost all six regular-season meetings with No. 3 Cleveland, which had gone 57-25. All the major Chicago newspapers had picked the Bulls to lose, some in three games. That prompted Jordan to lash out, vowing Chicago would win in four.
The Bulls got off to good start, winning 95-88 in Game 1 at Cleveland while Cavaliers star guard Mark Price sat with a groin strain. Leading 2-1, Chicago had a chance to close out the series at home May 5, but Jordan missed a late free throw in regulation, and the Cavaliers forced overtime before winning 108-105.
Jordan later would say the missed foul shot fueled his desire for redemption when the teams played the deciding game at Richfield Coliseum.
The final game went back and forth before Jordan gave the Bulls a 99-98 lead on a short jumper with six seconds left. The Cavaliers called timeout, and coach Lenny Wilkens drew up a play. The problem was, it worked too well. "The play we set up, we scored a little too quickly," Wilkens said.
Ehlo inbounded the ball at midcourt to forward Larry Nance, who threw it back to Ehlo. He drove for a layup with three seconds left for a 100-99 lead. It looked as if Ehlo might end up being the hero. He had played the game of his life, ending up with a team-high 24 points.
"I'm thinking this little old boy from Lubbock, Texas was going to be on the cover of Sports Illustrated," said Ehlo, who had missed Game 3 of the series with a sprained ankle he suffered in practice while simulating Jordan on the scout team. "I'm thinking, 'I'm living my Andy Warhol 15 minutes of fame.'"
Ehlo got his 15 minutes. It was just for another reason.
After a timeout, Sellers was tabbed by Bulls coach Doug Collins to inbound the ball at halfcourt. It was an interesting selection considering Sellers, a native of Cleveland suburb Warrensville Heights and a former Ohio State star, had grown up attending Cavaliers games whenever he could get cheap tickets.
Wilkens elected not to guard Sellers, instead seeking to double-team Jordan with Ehlo and Nance. "I'm 7-foot, and I got a clean look," Sellers said. "They had nobody jumping in my face, and I was standing on a tight sideline, and we didn't have any more timeouts left."
Jordan shook off Nance, pretty much knocking him out of the play. Wilkens said Ehlo unnecessarily took one step toward Chicago forward Scottie Pippen, who was moving behind him. That enabled Jordan to catch the ball on the right sideline, and, with two dribbles, get a step on Ehlo while streaking toward the foul line.
"We wanted Craig to be able to push him out further," Wilkens said.
Ehlo, though, turned out to be no match for Jordan. Neither were the laws of physics.
Once Jordan got two feet beyond the foul line, he hung in the air for what seemed to be the better part of the weekend. While Ehlo was flying by, Jordan rattled the shot in as the buzzer sounded.
Jordan, who scored 44 points, jumped up and wildly pumped his fist in triumph. Ehlo collapsed to the floor in dejection.
"I was the first to get over to (Jordan)," Sellers said. "It was pandemonium (among the Bulls). We were crying. It was just crazy. The noise in the Coliseum had been deafening, but then you could have heard a pin drop."
The Cavaliers couldn't believe their season was over.
"Michael hung in the air for what seemed like an eternity," Ehlo said. "I kept replaying in my mind what I could have done differently ... But it truly meant something in sports history, to be beaten by a shot like that, from a player like that, and have him consider it one of his all-time favorite shots."
Wilkens said it took a while to get over the devastating defeat. Calling it "the highlight that never dies," Price said it was "painful" to watch for a few years before he finally became numb to it.
It took longer for the Cavaliers to recover. While the Bulls went on to dominate the 1990s, a promising Cleveland team never could get past Jordan and the Bulls, also losing to them in the 1992 Eastern Conference final and in the second round in 1993.
"To lose in a manner like that shook the franchise to a certain extent," Price said. "The next year (Cleveland) traded Ron Harper in the Danny Ferry trade. It seemed that shot kind of changed the direction of two franchises."
The pain of the 1989 loss has been dulled somewhat by time and the recent success of the Cavaliers, which is making life a bit easier for Sellers. As the economic development director for Warrensville Heights, he regularly deals with Cavaliers fans.
"Not a week goes by that somebody doesn't mention that shot, saying they just saw something about it on TV or they were at the game," Sellers said. "There's no chance to get away from it living (in the Cleveland area)."
Ehlo lives 2,000 miles away. He can't get away from it, either.
NBA.com contributor Chris Tomasson covered the 1989 Eastern Conference first-round game between the Bulls and Cavaliers for The Canton (Ohio) Repository.

Bonne initiative CAPTAIN, mais malheureusement je ne comprends pas l'anglais....

Et bien moi non plus

Laker4life a écrit:

Bulls @ Knicks 28 mars 1995 :

- Revenu de sa retraite de 2 ans, Michael Jordan retrouve le Madison Square Garden et score 55 pts

Première Partie du match

Deuxième partie du match

Troisième partie du match

Quatrième Partie du match

Cinquième Partie du match

Dernière Partie du match

merci pour le match, il manquait à ma collection

MJ qui marque 45 points contre le Magic, avec en prime des actions de Penny et Shaq, necya si tu me lis...



Une autre vidéo où MJ donne une leçon de basket au jeunot (de l'époque) Grant Hill.

Je rajouté une autre vidéo, où MJ plante 50 points contre les bucks, avec l'un de ses shoots les plus connus à une secondes de la fin pour la gagne, le joueur le plus clutch de l'histoire (tient ça me donne une idée pour faire un topic dessus).

MJ69 a écrit:

Je rajouté une autre vidéo, où MJ plante 50 points contre les bucks, avec l'un de ses shoots les plus connus à une secondes de la fin pour la gagne, le joueur le plus clutch de l'histoire (tient ça me donne une idée pour faire un topic dessus).

c'est l'un de mes matchs préférés, une intensité de bargeot, MJ surexcité, les bucks ont mené tous le match (ils ont toujours eu une superbe équipe dans les années 80) et Jordan qui plante 27 points dans le 4e QT avec l'un des plus shoots au buzzer

Le top 40 des meilleurs moments de la carrière de Mike.

53 pts, 16 rebs, 8 ast et 2 stls = La ligne de stats de MJ lors de ce match.

Un article super intéressant sur les 63 points de MJ face aux Celtics en 1986.

http://www.basketusa.com/videos/14965/20-avril-1986-le-jour-ou-michael-jordan-est-devenu-dieu/

Les deux MJ réunis :

Après deux mois de vacances, c'est aussi la rentré des classes pour le meilleur topic du forum. ^^

Vidéo représentative du messie, arrivé sur notre planète un 19 février 1963 à Brooklyn. Messie qui avait alors décidé de changer l'image du sport pro, et qui par la même occasion allait révolutionner son sport, tel un Ali en son époque.