NBA TAG...

Il faut dire qu'il représente à merveille les 90's...l'époque de ces mecs qui étaient "haut comme 3 pommes"...mais qui allaient au duel sur les pivots les plus rudes...et dans les raquettes les plus fermé...c'était plus qu'impressionnant, il était l'un des tout meilleur à ce jeu là avec John Starks...

j'adorais ce joueur un bosseur talentueux qui était toujours là quand il faut

Mais ou est Drazen Petrovic qui est le 1er joueur européen à s'etre imposé en NBA,de plus lui aussi à marqué 100 points sur un matche en europe,tu devrai y penser!

Ben fais le Drazen n'est pas le seul Européen à s'être imposé...même si c'était l'un des plus connu...malheureusement aussi à cause de ce que l'on sait...
Je comptais le faire un jour...

Si vous voulez un autre joueur qui représente bien les 90's et bien cette personne ne peut être que: Chris Mullin

Christopher Paul Mullin, connu sous le nom de Chris Mullin est né le 30 juillet 1963 à New York
Il portait le numéro 17 en l’honneur de son héros de jeunesse, la légende des Celtics John Havlicek.
Reconnu comme un des universitaires les plus performants du pays lors de ses deux dernières années à l’Université de St John, Chris Mullin joue et gagne les Jeux Olympiques d'été de 1984 et reçoit en 1985 le John Wooden Award, trophée décerné au meilleur joueur universitaire de l’année.
Il se présente alors à la draft et se voit seléctionné par les Golden State Warriors en 7e position.
Il terminera sa saison de rookie avec une moyenne de 14 points par match et le deuxième meilleur pourcentage de réussite au lancers-francs de la ligue, marque qui est également la deuxième performance de tous les temps pour un débutant derrière celle établie par Ernie DiGregorio en 1973-74.
Mullin est à la hauteur des espoirs placés en lui mais les Warriors affichent un bilan décevant avec un total de 52 défaites.
Originaire de New York, Mullin ne connaissait pas grand-chose du monde en dehors du gymnase de St John et de son quartier de Brooklyn. Isolé et relativement malheureux en Californie, il sombre dans l’alcool.
C’est son nouveau coach Don Nelson qui va le convaincre de traiter ses problèmes de boisson. Il passe alors 48 jours en cure de désintoxication alcoolique et revient transfiguré sur les parquets. Il termine la saison avec une ligne de statistiques impressionnante : 20.2 points, 4.8 passes et 3.4 rebonds de moyenne par match.

Durant la saison 1988-89, il tourne aux moyennes affolantes de 26,5 points (5e total de la ligue), 5,9 rebonds et 5,1 passes. Il devient le 3e joueur de l’histoire des Warriors après Wilt Chamberlain et Rick Barry à compiler 2000 points, 400 rebonds et 400 passes la même saison.
Mullin compose avec Mitch Richmond le duo le plus efficace de la NBA, inscrivant à eux deux 48,6 points par match. Ils forment alors la plus jeune paire à mener les classements depuis Kareem Abdul-Jabbar et Bob Dandridge avec les Bucks de Milwaukee en 1971-72. 1990-91, en compagnie du jeune Tim Hardaway fraichement arrivé et de Richmond, Mullin forme sous les ordres de Don Nelson le trio le plus prolifique de la NBA. Ils sont surnommés le « Run-TMC » (Tim, Mitch et Chris) en écho à l’un des groupes pionniers du rap US Run DMC.
Les Warriors commencent la saison par une victoire 162 à 158 et sortent les Spurs de San Antonio au premier tour des playoffs avant de tomber face à la meilleure équipe de l’Ouest, les Lakers de Magic.
Chris Mullin fait également sa 4e apparition au All-Star Game. Richmond est remplacé par la star lituanienne Sarunas Marciulionis, et l’équipe affiche un bilan de 55 victoires pour 27 défaites. Bien qu’éliminés au premier tour des playoffs par les Seattle Supersonics, les Warriors semblent sur le bon chemin et Mullin est appelé pour être membre de la Dream Team aux côtés de Michael Jordan, Magic Johnson et Larry Bird, en route pour décrocher l’or olympique à Barcelone.
La saison 1993-94 présente un bilan positif sous la houlette du rookie Chris Webber qui quittera précipitamment les Warriors suite à une dispute avec Don Nelson.
Chris est finalement échangé contre Erick Dampier en 1997 aux Indiana Pacers, entrainés par Larry Bird.
Il jouera 3 saisons pour les Pacers, menant la ligue en 1997-98 aux LF (93,9 %), et établissant la 3e marque à 3 points (44 %).
En 1999-2000, Mullin porte ce pourcentage à 46,5 %. Il termine sa carrière à Indiana avec 3 apparitions lors de la série finale de 2000 perdue contre les Lakers de Los Angeles, avant de retourner pour une ultime saison chez les Warriors. Il raccroche au printemps 2001 après 16 saisons sur les parquets.

À l’orée de la saison 2002-03, les Warriors font appel à lui pour devenir assistant coach. Il est aujourd’hui le Manager Général de la franchise.

Statistiques en carrière : 18.2 points / 3.5 passes / 4.1 rebonds pour 986 matches


Palmarès :

Double champion olympique(1984 et 1992)
All-NBA First Team (1992)
All-NBA Second Team (1989, 91)
Sélectionné cinq fois pour le All-Star Game (1989, 90, 91, 92, 93).

les 90's = le retour en force des Whitey's...

Aprés le block de la nuit, que dis-je...du mois de Nate Robinson...voici un clin d'oeil pour lui, avec cette petite bio de Spud Webb

Anthony "Spud" Webb est né le 13 Juillet 1963 à Dallas dans l'Etat du Texas.
Il fait partie d'une famille modeste, et vit dans un tout petit appartement (tout est petit dans sa vie ou quoi???) avec ses parents et ses 5 freres et soeurs.
Son rêve depuis tout petit jeune est de jouer un jour en NBA.
Même s'il est plus petit que les autres joueurs de son âge, il arrive quand même à monter beaucoup plus haut grâce à sa detente.
Spud faisait partie de l'equipe de son collège, mais malheuresement il etait contraint de rester en bout de banc parce qu'il etait trop petit.
Quand son coach lui donna une opportunité de jouer, il scora 20 points dans son premier match. Plus tard, lorsqu'il essaya de faire partie de l'equipe lycéene de Wilmer-Hutchins, on lui dit de retourner dans l'equipe du college à cause de sa taille(décidément...).

Il fut tellement déçu qu'il pensa à abandonner son rêve. Mais finalement, il en profita pour travailler encore plus dur et il sera finalement intégré parmi l'equipe. La carriere de Spud Webb est alors lancée.
Ses stats sont assez impressionantes : 26 points par match de moyenne en High School. Mais malgré ses très bonnes performances, personne ne voulut de lui en NCAA...

Il refusa encore une fois de laisser tomber et décida alors de jouer pour le Midland Junior College ou il mena son équipe au titre national des Juniors.
C'est alors qu'en 1983, Tom Abatemarco, assistant coach de North Carolina State vit Spud Webb jouer et le proposa au head coach de NC State.
Quand Valvano (head coach de NC state) vit ce petit homme d'un 1m70 descendre de l'avion et marcher vers eux, il dit carrément à Abatemarco "Si c'est lui Spud Webb, vous etes viré."
Résultat de l'opération: Spud mena sa team au Sweet 16 (1/8 de finale) du tournoi NCAA.

Nouvelle désillusion pour lui : Alors qu'il avait mené son equipe assez loin dans ce qui serait la March Madness aujourd'hui, Spud Webb ne fut pas selectionné à la draft de 1984. Il joua alors une année dans la USBL (United States Basketball League) avant de se presenter à la draft NBA, ou il fut selectionné en 87ème position par les Detroit Pistons...qui le couperent juste apres.
Il termine sa première saison en tant que doublure de Doc Rivers avec des moyennes de 7.8 points et 4.3 passes alors qu’Atlanta remporte 16 matches de plus que la saison précédente.

Cette saison 1985-86 marque le début d’une période faste pour les Hawks. Portés par Dominique Wilkins et Kevin Willis, ils atteindront 4 années d’affilée un total d’au moins 50 victoires en saison régulière et se qualifieront 5 fois en 6 ans pour les playoffs dont ils ne dépasseront néanmoins jamais le 2e tour. Durant ces 6 années, Spud Webb doit surtout se contenter du rôle de doublure du meneur de jeu. Il va néanmoins acquérir une grande notoriété dans le courant de l’année 1986.

Alors rookie, Spud Webb se présente au concours de dunks du All-Star Game dont il est une des principales attractions. Une série impressionnante couronnée notamment de 2 notes parfaites (50), le numéro 4 des Hawks est proclamé vainqueur de la compétition.

Spud Webb signe en 1990-91 ce qui sera à la fois la meilleure et la dernière saison de son premier passage chez les Hawks. Il tourne à 13.4 points et 5.6 passes mais l’équipe vieillissante échoue à nouveau au premier tour des playoffs. Spud Webb s’engage alors avec les Sacramento Kings, une des franchises les plus faibles de la ligue.

Arrivé en même temps que Mitch Richmond, ancienne star des Golden State Warriors, Spud Webb voit son temps de jeu augmenter significativement. Il en profite pour signer en 1991-92 la meilleure saison de sa carrière avec 16 points et 7.1 passes de moyenne par match. En 1994-95, il achève sa cinquième saison consécutive à plus de 10 points et 6 passes de moyenne mais l’équipe ne parvient toujours pas à décrocher une place en playoffs.

A l'été 1995, Spud Webb fait le chemin inverse pour retourner à Atlanta dont la franchise est ancrée solidement dans le milieu des classements de la NBA. Il n’y jouera que 51 matches avant de prendre la direction de Minnesota en cours de saison en échange de Christian Laettner. En 26 matches il affiche des statistiques moyennes de 9.4 points et 5.9 passes.

En 1996-97, Spud Webb tente l’aventure de l’Europe dans le club italien de Scaligera Verona. À 34 ans, il revient pour un dernier défi en NBA avec le Magic d’Orlando qui ne durera que le temps de 4 matches.

Je prend le cour ce topic si je peux me le permettre... alors mon sujet est de celui de Mark Price ancien tres bon meneur

William Mark Price (né le 15 février 1964 à Bartlesville, Oklahoma) est un ancien joueur professionnel américain de basket-ball qui a joué durant douze ans en NBA pour les Cleveland Cavaliers, les Washington Bullets, les Golden State Warriors et les Orlando Magic. En 2006, il fut brièvement entraîneur des South Dragons en Australie dans la National Basketball League.

Le meneur de jeu d'1m83 formé à Georgia Tech fit démentir les critiques qui le trouvaient trop lent, trop petit et trop faible pour le haut niveau. Choisi au premier rang du second tour (25e au total) par les Dallas Mavericks lors de la draft 1986, il fut immédiatement transféré le jour de la draft aux Cleveland Cavaliers permettant à l'équipe d'en faire une puissance de la Conférence Est.

Price, meilleur meneur de l'histoire des Cavs, était connu comme l'un des shooteurs les plus réguliers. Il termina sa carrière avec un pourcentage de réussite aux lancers-francs de 90,4%, faisant de lui le meilleur joueur dans cette statistique de l'histoire de la ligue,[1] et un pourcentage de réussite aux tirs à 3 points de 40%.[2] Lors de la saison 1988-89, Price devint l'un des cinq joueurs, avec Larry Bird, Reggie Miller, Steve Nash et Dirk Nowitzki, à tirer à au moins 40% à 3-points, 50% aux tirs et 90% aux lancers-francs.[3] Price est le meilleur passeur de l'histoire des Cavs (avec 4206 passes décisives [4], remporta à deux reprises le Three-point Shootout (avec 25 points, égalant le record de Larry Bird et Craig Hodges) et participa à quatre reprises au NBA All-Star Game. Price fut nommé dans la All-NBA First Team lors de la saison 1992-1993.[5] A noter qu'il fut parti de la Dream Team 2 qui remporta les championnats du monde 1994 à Toronto avec des joueurs comme Shaquille O'Neal,Alonzo Mourning,Dominique Wilkins,Shawn Kemp...

Il fut perturbé par les blessures vers la fin de sa carrière, un des facteurs qui a entraîné son transfert aux Washington Bullets au début de la saison 1995-96. Il joua une saison pour Washington avant de partir aux Golden State Warriors et plus tard aux Orlando Magic, où il joua sa dernière saison . Il prit sa retraite en 1998. Peu après, le numéro 25 de Price fut retiré par les Cleveland Cavaliers.

La ville de Enid, Oklahoma, a construit une salle de basket-ball et la nomma "Mark Price Arena", pour sa contribution en NBA players et étant l'un des joueurs les plus marquants de l'histoire du lycée Enid.

Voici ces stats en carrière:

15.2 pts 2.6 reb 7 ast 1.2 stl 0.1 blk 2.5 tov 90.4 % FT 40.3 %3P 47.2 %FG !



Désolé je n'ai pas de photo...

C'est chose faite :

Merci NBAer

Y'a pas de quoi...
De plus good idea Price, ça fait plaisir de revoir son brushing à celui-là...lol

NBAer a écrit:

Y'a pas de quoi...
De plus good idea Price, ça fait plaisir de revoir son brushing à celui-là...lol

lol merci tkt

Je relance un coup le poussièreux topic bio... avec un géant de la NBA...
MISTER PAT "the Beast" EWING !!!!

Nom : Patrick Aloysius Ewing
Né le : 5 août 1962 à Kingston (Jamaïque)
Taille : 2.13 m
Poids : 108 kg

Patrick Ewing est né en Jamaïque.
A l'âge de 13 ans, il débarque de son île natale avec sa famille à Cambridge.
Il a été formé à l'Université de Georgetown, entraîné par John Thompson où il y atteint trois finales universitaires nationales, gagnant celle de 1984.
Celà dit, Georgetown chute à deux reprises face à ses deux outsiders : North Carolina, menée par James Worthy et Michael Jordan, en 1982, et surtout Villanova en 1985.

Premier choix de la draft 1985, il sera sélectionné par les New York Knicks avec lesquels il va accomplir l'essentiel de sa carrière.
naturellement, il sera élu Rookie de l'année en 1986 et considéré rapidement comme l'un des meilleurs pivots de la ligue.
Régulièrement bloqué en playoffs par les Chicago Bulls de Michael Jordan, la véritable bête noire des Knicks dans les années 1990 (effectivemnt, en 1992, les Knicks échouent en demi-finale de la Conférence Est, puis lors de la finale de la Conférence la saison suivante à chaque fois face aux Bulls).
Appelé à participer à l'aventure de la Dream Team lors des JO de Barcelone en 1992, il se fera remarquer par son impliquation dans et hors des terrains de basket.
En 1994, Jordan prends sa retraite, et les New Yorkais arrivent enfin, leur bête noire absente et ses co-équipiers abattus par l'absence de leur maître à jouer, a parvenir en Finale NBA, (première pour les Knicks depuis 1973) mais doivent s'incliner face aux Houston Rockets, d'un autre pivot légendaire Hakeem Olajuwon.
En 1999, il se blesse lors du second tour des playoffs alors que les Knicks atteignent les finales NBA face aux San Antonio Spurs.
Pour sa dernière saison avec les Knicks, en 2000, ils s'inclinent face aux Pacers de nouveau en finale de Conférence.
En 2000,Pat est transféré aux Seattle Supersonics, les Knicks recevant alors Glen Rice, Luc Longley, Travis Knight, Vladimir Stepania, Lazaro Borrell, Vernon Maxwell, deux premiers tours de draft et deux seconds tours de draft.
Beaucoup d'observateurs considèrent que ce transfert signifia la désintégration de l'équipe des Knicks, qui n'a pas réussi à retrouver son rang depuis.
Il jouera une saison avec les Sonics, puis il signe pour une dernière saison au Orlando Magic la saison suivante avant de prendre sa retraite le 18 septembre 2002.

Etant donné que les commentaires sur Ewing se bousculent, je vais en profiter pour parler de quelqu'un d'autre qui demande autant de considération alors je compte sur vous pour égaler au moins le record de post détenu par Pat Ewing^^...
Mister Latrell "J'étrangle les coachs" Spreewel
Latrell Fontaine Sprewell (qui porte le nom de sa mère) est né le 8 septembre 1970 à Milwaukee dans l'Etat du Wisconsin.
Malgré de bonnes performances en High School, il ne reçut aucune offre d'université, se rabattant sur une université mineure avant d'être remarqué par Alabama (où il joua notamment avec Robert Horry) où il montra l'étendue de son talent.
Il est drafté par les Golden State Warriors en 1992 et est mis à l'écart en 1997 pour avoir étranglé son entraîneur P. J. Carlesimo.
Les sanctions ne se furent pas attendre, Spree fut d'abord suspendu 10 jours avant que sa franchise ne décide de rompre son contrat (3 ans à 23millions) tandis que la NBA l'expulsa purement et simplement de la ligue.
Transféré en 1998 aux Knicks de New York contre trois joueurs, il emmène son nouveau club en finale NBA (défaite face aux Spurs de San Antonio). Spree, par son style rapide et musclé, combla rapidement les fans et devena l'un des chouchous du MSG (Spike Lee portant son maillot depuis le départ de Starks).
Il devient alors un des piliers de la franchise et représente avec Pat Ewing New York et les New Yorkais dans le sport.
Il est transféré en 2003 au Minnesota Timberwolves. L'equipe bâtie autour de Sam Cassell, Kevin Garnett et Sprewell arrive en finale de conférence ouest.
Spreewel était exceptionnel, mais il y avait trop de part d'ombre en lui (bagarre avec coéquipiers, accusations d'...étranglement par une femme, conduites en état d'ivresse,...) pour être aimé par la NBA...Après avoir disputé 913 matchs dans sa carrière, Sprewell prend sa retaite à la fin de la saison 2005.

Les New Yorkais c'est pas votre truc les gars apparament... vu le tas de commentaires sur le sujet...ce topic est aussi à vous!!! Exprimez vous, postez bon sang...
Pour la peine j'vais vous pondre un autre portrait, en espérant viser juste sur le profil attendu par mes forumeurs préférés...on rattaque avec du lourd (alors je veux des réactions!!!)...le sujet développé est Dominique Human Highlight Film Wilkins.

Jacques Dominique Wilkinsest né le 12 Janvier 1960 a Paris, car son père travaillait pour l’armée de l’air, Do choisi alors d’effectuer la totalité de ses études aux Etats-Unis au Lycée de Washington dans l'Etat de North Carolina, et par la suite dans L’université de Géorgie où il tournera à 22 points par matchde moyenne.
Suite à son année Junior, Wilkins décide de se présenter a la Draft 1982.
Lors de cette draft il est choisi par les Jazz en 3eme position, mais refuse de s'engager avec Utah et se fait trader en septembre 1982 chez les Hawks d’Atlanta ne quittant donc pas la Géorgie de ses années Universitaires...
Dominique tourne 17.5 points par match dés sa première saison dans l'effectif des Hawks, il est alors élu dans la All Rookie NBA Team de 1983.
Dans sa deuxième saison Wilkins confirme les espoirs fait en lui avec une moyenne de 21.6 points par match.
Nique de son surnom, permet aux Hawks de retrouver la victoire et d'espérer à un avenir radieux, permettant à la franchise d’enregistrer son record de victoires (plus de 50 victoires de 1985-86 jusqu'à 1988-89.
En 1988 lors du All star game Wilkins réussit la performance de marquer 29 points en 30 min.
Durant la saison suivante Wilkins fait une très grosse saison avec 31.2 points par match malgré tous ces efforts les Hawks et Wilkins n’arriveront pas atteindre les finales de conférence bloquer en demi-finale de conférence par les Celtics Boston et une série palpitante entre Bird et Wilkins qui se terminera au game 7 avec 2 points d’écart en faveur des Celtics.
Après une blessure au tendon d'Achille, plus beaucoup ne croyait aux chances de Wilkins d’évoluer dans la grande ligue pourtant à 32 ans Wilkins finit deuxième meilleur marqueur de la ligue derrière un certain Michael Jordan. Durant la même saison il devint le 17eme joueur de l’histoire de la NBA a passer la barre des 20.000 points.

Au milieu de la saison 93-94 les Hawks et Wilkins ne se porte pas sous les meilleur jours et les Hawks décidèrent de trader Wilkins aux Clippers de Los Angeles pour reccupérer en échange Danny Manning, ce qui choqua bien entendu les Fans Georgiens.
Après la saison, Wilkins devint agent libre et s’engagea avec les Celtics de Boston de 1994 à 1995. Bien qu’il était l’un des principaux scoreurs de Boston avec 17.8 points par match il venait d’effectuer sa plus mauvaise saison en terme de stats personnelles.
Il décide alors de relancer sa carrière et de quitter Boston pour l'Europe, se dirigent vers la Grèce et le Panathinaikos.
Il amenera le Panathinaikos en Euroleague et au Final Four en 1996, le remportera et se verra décerné le prix de Mvp. Il reste à ce jour la plus grande star NBA a avoir joué pour un club européen...
Wilkins fera un come back en NBA avec les Spurs de San Antonio, étonnant par sa capacité àrelever des défis terminant la saison avec 18.2 points et 6.4 rebonds par match .Aprés un passage en Italie au Fortitudo Bologne il reviens une dernière fois en NBA du côté de la Floride en Février 99 avec Orlando ou il retrouve son frère Gérard Wilkins.
Il se retire alors à la fin de la saison avec le Magic. Son maillot le numéro 21 a été retiré par Atlanta.

-Elu au Hall Of Fame en 2006
-Dans La All Rookie NBA Team en 1983
-All NBA Firts Team en 1986
-All NBA Second Team en 1987,’88,’91 et 93
-All NBA Third Team: 1989 et 1994
-Slam Dunk Contest en 1985 et 1990
-9 fois All Star NBA
-Vainqueur de l’Euroleague avec le Panathinaikos et MVP de la finale .
-Médaille D’or au championnat du monde en 1994


...un des plus beaux si ce n'est le plus beau Slam Dunk Contest...(Sources: Wikipédia, divers sites NBA et bouquin perso...)

^Ca devrait vous aider à choisir pour le topic des dunkers non???

le prob c'est que j'ai rien à ajouter à ce que tu écris donc je me tais

Proposez moi un sujet éventuellement...

bah je sais pas tu veux faire quelle époque

Je suis love des 70's, 80's et 90's... après à toi de voir... si le sujet me conviens je m'y collerais...
Celà dit tu peux en faire autant, j'apprécierais de lire quelques NBA Tags d'autres...( j'ai vu tes participations au topic et c'est même plut^t très bon...)

t'inquiètes j'en ferai enfin si tu veux fais en une sur walt frazier ^^

Trés bon choix!!!
...en plus ça s'invente pas je porte le maillot actuellement!!!
Y'aurais-t-il des mouchards dans mon bureau???

Melkor is watching you ^^

Pour faire plaisir à Mel' voilà une bio sur ce fabuleux joueur qu'était Walt Clyde Frazier...
Walter Frazier Jr. est né le 29 mars 1945 à Atlanta en Géorgie.
Il débutera ses premiers dribbles croisés sur le seul playground de son établissement pour noirs, dans le sud des Etats-Unis où la ségrégation raciale est omniprésente... En High School avec la David Howard High School d'Atlanta, il n'évoluera sportivement que dans les équipes de football (quaterback) et de base-ball (pitcher)... Puis plus tard, Frazier accepte de rejoindre l'Université de Southern Illinois pour évoluer au sein de l'équipe de basket-ball, bien qu'ayant été sollicité à maintes reprises par bon nombres d'universitées à travers tout le pays pour ses talents de quaterback.
Il dira plutard: "Je voulais faire du sport mon futur métier, et en analysant bien le championnat de football, j'ai remarqué qu'il n'y avait aucun quaterback noir."

Frazier emmène l'université de Southern Illinois au titre de la National Invitation Tournament et fait de Southern Illinois la première petite université à remporter le tournois.
Walt est logiquement élu All-American lors de sa dernière saison et les Knicks de New York le sélectionnent en cinquième choix pendant la Draft 1967.

Après des débuts hésitants, seulement 9 points de moyenne en 1967-68, sa progression va être fulgurente à l'arrivée du coach William "Red" Holzman à la mi-saison et il terminera l'année en éblouissant le Madison Square Garden de ses interceptions et ses passes ultra-rapides.

Cumulant Frazier, DeBusschere et Bradley a un cinq de départ comprenant déjà Willis Reed et Dick Barnett, les Knicks ont rapidement construit une équipe capable d'atteindre des sommets. 1968-69, les Knicks se qualifient pour la finale de l'Eastern Division. Frazier tourne à 17.5 points en saison régulière et reçoit la première de ses sept sélections dans la NBA All-Defensive First Team.

Lors de la saison 1969-70, les Knicks établissent un nouveau record NBA en remportant dix-huit succès consécutifs, et terminent la saison en tête de la ligue avec soixante victoires.
Frazier termine la saison avec des moyennes de 20.9 points et 8.2 passes décisives par match. Il participe à son premier All-Star et reçoit sa première sélection au sein de la All-NBA First Team.

En 1970, New York retrouve en finale les Los Angeles Lakers. Face à Wilt Chamberlain, Jerry West et Elgin Baylor, et avec la blessure de Willis Reed lors du cinquième match, les Knicks ne partaient pas favoris, mais lors du septième match au Madison Square Garden, avec un Willis Reed inscrivant sur une jambe les deux premiers paniers du match, Walt Frazier va établir la plus grande performance de sa carrière : 36 points, 19 passes décisives et 5 interceptions.
Frazier dominera ses adversaires directs, Baylor et West, et offre aux Knicks le premier titre de l'histoire de la franchise.
New York s'impose finalement 113 à 99.
Walt Frazier devient l'un des joueurs les plus aimé de la ligue par les spectateurs, ce qui lui vaudra d'être l'un des premiers athlètes à être payé par un équipementier sportif (il donnera naissance aux Puma "Clyde", tirée de son surnom).

En 1971, les Knicks se qualifient pour la finale de l'Eastern Conference mais s'inclinent en sept matchs face aux Baltimore Bullets. Ils retrouveront les Finals en 1972 mais s'inclineront face aux Los Angeles Lakers dans la revanche des Finals 1970. Les Knicks recrutent le plus grand rival de Frazier, l'arrière des Bullets Earl Monroe. Les specialistes doutent de l'association de ces deux grands joueurs, tant tout les oppose. L'un est un adepte d'un jeu tourné vers le collectif et d'une défense resserrée, l'autre est un attaquant né, capable d'enflammer une rencontre à chaque instant.
Après une première saison délicate pour Monroe, les deux joueurs vont former l'un des meilleurs backcourt de tous les temps, le "Rolls Royce Backcourt".

En 1972-73, les Knicks battent les Lakers en cinq matchs en finale pour obtenir leur seconde bague de champion.
Frazier sera les saisons suivantes sélectionné pour le All-Star Game à trois autres reprises et il en sera même élu MVP en 1975 après avoir marqué 30 points, alors que l'équipe des Knicks décline doucement...

En 1976-77, il tourne à 17.4 points mais New York rate les playoffs pour la seconde saison consécutive.
S'en suivrons les départs successifs de DeBusschere et de Bradley...
Le 7 octobre 1977, Walt est tradé vers l'Ohio et les Cleveland Cavaliers en échange de Jim Cleamons.
Ne jouant que soixante-six matchs en trois saisons, les Cavs le coupent après trois matchs de la saison 1979-80. Il termine sa carrière avec une moyenne de 18.9 points en 825 matchs disputés et restera meilleur marqueur et passeur de l'histoire de la franchise de New York...

Après son départ en retraite, Frazier devient agent de joueur, puis déménage aux Iles Vierges où il passe la majeure partie son temps à naviguer.
Mais il perdra sa maison lors de l'ouragan Hugo en 1989 et rentre à New York où il devient consultant pour la radio.
En 1987, il intègre le Naismith Memorial Hall of Fame, et en 1996, il est sélectionné dans la NBA 50th Anniversary All-Time Team.

Son maillot est retiré par les New York Knicks en 1999.

Palmarès :
Elu au Hall of Fame (1987), Champion NBA (1970, 73), All-NBA First Team (1970, 72, 74, 75), All-NBA Second Team (1971, 73), All-NBA Defensive First Team (1969 à 75), sept fois All-Star (1969 à 1975), MVP du All-Star Game (1975), sélectionné parmi les 50 plus grands joueurs de tous les temps (1996).

Points : 15.518 (18,9/match)
Rebonds : 4.830 (5,9/match)
Passes décisives : 5.040 (6,1/match)
Interceptions : 681 (1,9/match)
Contres : 59 (0,2/match)
Tirs : 6.130/12.516 (49,0%)
Minutes : 30.965 (37,5/match)
Son surnom est inspiré du célèbre voleur Clyde Barrow, dont les forfaits les plus remarquables sont relatés dans le film Bonnie and Clyde.
Avec les Knicks, Frazier sera double champion NBA, en 1970 et 1973 et participera à sept All-Star Game.
Il sera également sélectionné à quatre reprises dans la All-NBA First Team et à sept reprises dans la All-Defensive First Team.

merci beaucoup ^^ bon donne moi une idée de joueur s'il te plait ?